Wekicks fait partie des cinq projets sélectionnés pour intégrer la première édition du StartHüb #NWX. Besoin de vous rechausser ? Ils ont tout prévu pour vous dénicher les paires les plus stylées grâce à leur site dédié aux sneakers.
Qui ?
Qui a dit que les projets de Startup Weekend ne tenaient pas dans la durée ? On vous avait déjà parlé de Wekicks et leur marketplace dédiée aux sneakers il y a quelques mois après leur victoire au Startup Weekend Rouen, puis à Créactifs la même semaine. Le jury semble avoir eu le nez fin… Depuis, Samy Bouguern, 25 ans, en master projets internationaux à Neoma et François Mendy, 34 ans, agent de production pharmaceutique, on fait du chemin… A peine un mois après leurs victoires, ils démarrent le développement de leur site. Samy part au Canada présenter le projet lors d’un important festival de startups, et les deux garçons remportent une bourse Déclic’jeunes à Paris en septembre dernier.
Quoi ?
Mais au fait, c’est quoi des sneackers ? « C’est le terme utilisé pour dire « baskets » en anglais. En fait, il n’y a qu’en France qu’on n’utilise pas trop le terme de « sneakers. « Avec Wekicks, on cible les amoureux de la basket hype, exclusive, rare. C’est pas la paire de baskets de tous les jours. » Leur idée : une plateforme de mise en relation de passionnés de sneakers qui se revendent leurs paires d’occasion ou produites en édition limitée et achetées pour les revendre plus tard quand elles se font plus rares.
Et après ?
En parallèle de cette caverne d’Ali baba de la sneaker, un espace communautaire. « On veut fédérer la communauté sur les nouvelles tendances avec des articles et de nouveaux services qui courant 2018 :
-« Hook up » : système d’achat mandaté grâce auquel les utilisateurs pourront demander à d’autres de leur ramener une paire achetée dans une autre ville ou pays et où ils ont prévu de se déplacer.
-« Pay, meet, no cash » : système de paiement via le site avant la rencontre des deux utilisateurs.
-« Wanted » : système de recherche de paires rares.
Ca fait beaucoup d’Anglais tout ça ?! « On n’a pas trop d’inquiétude pour l’anglais sur le marché français » nous dit Samy, « ce sont des codes du secteur, très utilisés par les passionnés. On a utilisé leurs codes justement pour qu’ils s’y retrouvent. »
Objectif 1 : Lancement du site en janvier 2018 et sa promotion lors de salons
Objectif 2 : Créer une communauté française
Objectif 3 : S’ouvrir à l’international en commençant par la Belgique, l’Allemagne et la Hollande